Une partie de l’immigration musulmane en Europe souffre d’oikophobie, la haine de l’endroit où l’on vit.
Dans un texte publié par la presse espagnole, et pour la première fois traduit en français, l’écrivain Arturo Pérez-Reverte livre une réflexion sur la façon dont l’immigration bouleverse en profondeur la civilisation européenne. Selon lui, le terme qu’il faut employer pour qualifier l’attitude d’une partie de l’immigration musulmane est le mot grec « oikophobie », qui désigne la haine de sa maison, du lieu où l’on vit, et le refus d’en adopter les coutumes
Le Figaro
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